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Page:Magre - La Tendre Camarade, 1918.djvu/214

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LA TENDRE CAMARADE

peur et qui a mal. J’étais bien abandonnée jadis, bien seule, sans amour. Je ne suis plus seule maintenant et beaucoup d’amour m’enveloppe. Est-ce donc la même chose, puisque je suis, toute tremblante encore, sous le vieux figuier ?