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Page:Magre - La Tendre Camarade, 1918.djvu/268

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LA TENDRE CAMARADE

nées entières, immobile, dans la fumée des bâtonnets d’encens qu’elle faisait brûler. On l’avait revue deux ou trois fois avec le sergent de la milice, puis elle avait quitté brusquement Cao-Bang toute seule, pour revenir à Hanoï.