Page:Marguerites françaises.djvu/126

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pour vous, qu’elle a eu de cœur et d’envie de vivre en vous aymant.

Quelque refroidissement que je voye survenir en vostre affection, je suis resolu que la mienne n’y participera aucunement, ni en effet, ni en volonté.

Je ne peux esperer de prosperité, que sous les favorables signes de vostre constance.

La terre prendra plustost la place du ciel, que quelqu’un se puisse veritablement vanter d’aymer plus constamment que moy.