Page:Marguerites françaises.djvu/49

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porter à la violence de la fortune.

Mes affections vous seront tousjours aussi entieres, que mes promesses sont inviolables.

Il me semble que la plus muette de toutes mes actions a esté suffisante pour vous faire croire que je vous desirois du bien.

Mes affections demandent du secours plustost que des remises et des esperances.

Ne me priez point de vous vouloir du bien, car je n’ay partie en moy, qui ne m’y contraigne, avec toutes sor-