Page:Marguerites françaises.djvu/50

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tes d’aussi cheres que bien fortes persuasions.

Si vous mesurez mes affections à l’egal de la creance que vous devez avoir de vos merites, vous ne serez point en doute que mon amour ne soit saintement veritable.

Souvenez vous de mes affections, et pour estre esloigné de vos beaux yeux, que je ne le sois pas de vos bonnes graces.

Afflictions.

Il est certain que le mesme fubjet qui vous afflige me donne de l’affliction.