Aller au contenu

Page:Marino - La Première nuit du mariage, 1883.djvu/20

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
— 20 —

aussi mon corps nu comme le tien ; donne-moi ta main et je te ferai faire une nouvelle connaissance. (Elle lui donne sa main tremblante et il y place sa pine). Vois-tu comme elle palpite et grossit de joie ; oh ! qu’elle est avide du combat délicieux.

Sophie. — Et que dois-je faire avec ?

Belmont. — Je ne te demande que d’être obéissante à tous mes désirs, Il faut que je l’introduise dans ton corps de cette façon. (Il introduit un de ses doigts dans son con).

Sophie. — Oh ! je ne le supporterai jamais.

Belmont. — C’est ainsi d’abord que disent toutes les filles, mais toutes y survivent ; voilà maintenant que je le sens justement dans ton orifice ; à présent tu peux ôter ta main, ma très chère ; lève les jambes aussi haut que tu peux autour de ma taille ; très bien, ma petite, embrasse-moi aussi, surtout point de crainte. Est-ce que je te fais du mal ?

Sophie. — Oh oui, je te jure que tu m’en fais. Arrête, je t’en supplie, c’est impossible, je ne peux pas, arrête.