Page:Maupassant - Mont-Oriol, Ollendorff, 1905.djvu/91

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
85
mont-oriol


par l’onde agitée, l’onde vivante, l’onde animée de la source qui jaillissait au fond du bassin, sous ses jambes, et s’enfuyait par le petit trou dans le rebord de sa baignoire, qu’elle aurait voulu rester là toujours, sans remuer pres-