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Page:Maupertuis - Essai de cosmologie, 1750.djvu/52

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ciens les donnent, & telles que l’expérience les confirme ; & y chercher les caractères de la ſageſſe & de la puiſſance de l’Être ſuprème. Cependant, comme ceux qui les ont découvertes, ſe ſont appuyés ſur des hypothèſes qui n’étoient pas purement géometriques ; & que par là leur certitude ne paroît pas fondée ſur des démonſtrations rigoureuſes ; j’ai crû plus ſûr & plus utile de déduire ces loix des attributs d’un Être tout puiſſant & tout ſage. Si celles que je trouve par cette voie, ſont les mêmes qui ſont en effet obſervées dans l’Uni-