Aller au contenu

Page:Metivet, Jean-qui-lit et Snobinet, 1909.djvu/111

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

À une autre page, voici les robes à énormes paniers des dames qui accompagnaient la reine Marie-Antoinette à Trianon, et leurs petites têtes souriantes sur lesquelles des coiffeurs, juchés en haut d’un escabeau, bâtissaient des édifices invraisemblables de boucles, de plumes, de fleurs et de rubans avec, parfois, au sommet, un petit vaisseau à trois mâts, toutes voiles dehors, pavillons flottant au vent.

Le dessinateur a aussi représenté une collection de cha-