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Page:Mirecourt - Meyerbeer.djvu/89

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de repasser les Alpes et d’aller braquer l’escopette de leur critique sur les compositeurs et sur les chanteurs d’Italie.

Nous arrivons au terme de cette notice, beaucoup trop courte, eu égard à la célébrité de l’artiste éminent dont nous racontons l’histoire. Les faits et les anecdotes usurpent ici la place que les habiles auraient pu consacrer à de savantes appréciations des œuvres du virtuose.

En terminant, toutefois, nous énoncerons une idée modeste.

Il nous semble qu’il en est de la musique comme de la littérature : on aime à relire un beau livre, et l’on assiste plusieurs fois à un bon opéra. Chaque lecture et chaque représentation nouvelle