Aller au contenu

Page:Monselet - Fréron, 1864.djvu/65

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

et polie, et les exemples de plusieurs demoiselles de condition comme elle. »

En voilà assez pour démontrer que Fréron était bon à quelque chose. Lorsque, huit mois ensuite, il apprit que la jeune pensionnaire avait fait ses paquets pour Ferney, il ne put retenir cette exclamation : « Il faut avouer que Mlle Corneille va tomber en de bonnes mains ! »