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Page:Montesquieu Esprit des Lois 1777 Garnier 4.djvu/365

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DES MATIERES

soient leurs meres par respect pour Sémiramis, III. 220.

Asyle. La maison d’un citoyen doit être son asyle, I. 420.

Asyles. Leur origine : les Grecs en prirent plus naturellement l’idée que les autres peuples : cet établissement qui étoit sage d’abord, dégénéra en abus, & devint pernicieux, III. 167, 168. Pour quels criminels ils doivent être ouverts, ibid. Ceux que Moïse établit étoient très-sages : pourquoi, III. 168.

Athées. Parlent toujours de religion, parce qu’ils la craignent, III. 161.

Athéisme. Vaut-il mieux que l’idolâtrie ? III. 126 & suiv. N’est pas la même chose que la religion naturelle, puisqu’elle fournit les principes pour combattre l’athéisme, D. 252.

Athenes. Les étrangers que l’on y trouvoit mêlés dans les assemblées du peuple, étoient punis de mort : pourquoi, I. 17. Le bas peuple n’y demanda jamais à être élevé aux grandes dignités, quoiqu’il eût le droit : raisons de cette retenue, I. 19. Comment le peuple y fut divisé par Solon, I. 21. Sagesse de sa contitution, I. 25. Avoit autant de citoyens du temps de son esclavage, que lors de ses succès contre les Perses, I. 42, 43. Pourquoi cette république étoit la meilleure aristocratie qui fût possible, I. 30. En perdant la vertu, elle perdit sa liberté, sans perdre ses forces, I. 42, 43. Descriptions & causes des révolutions qu’elle a essuyées, ibid. Source de ses dépenses publiques, I. 85. On y pouvoit épouser sa sœur consanguine, & non sa sœur utérine ; esprit de cette loi, I. 89. Le sénat n’y étoit pas la même chose que l’aréopage, I. 99. Contradiction dans ses lois touchant l’égalité des biens, I. 88. Il y avoit dans cette ville un magistrat particulier pour veiller sur la conduite des femmes, I. 211. La victoire de Salamine corrompit cette république, I. 231. Causes de l’extinction de la vertu dans cette ville, I. 234. Son ambition ne porta nu préjudice à la Grece, parce qu’elle cherchoit non la domination, mais la prééminence sur les autres républiques, I. 249. Comment on y punissoit les accusa-