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Page:Montesquieu Esprit des Lois 1777 Garnier 4.djvu/366

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TABLE

teurs qui n’avoient pas pour eux la cinquieme partie des suffrages, I. 415. Les lois y permettoient à l’accusé de se retirer avant le jugement, ibid. L’abus de vendre les débiteurs y fut aboli par Solon, I. 416. Comment on y avoit ficé les impôts sur les personnes, II. 7,8. Pourquoi les esclaves n’y causerent jamais de trouble, II. 83. Lois justes & favorables établies par cette république en faveur des esclaves, II. 89. La faculté de répudier y étoit respective entre le mari & la femme, II. 119. Son commerce, II. 242. Solon y abolit la contrainte par corps : la trop grande généralité de cette loi n’étoit pas bonne, II. 257. Eut l’empire de la mer : elle n’en profita pas : pourquoi, II. 288, 289. Son commerce fut plus borné qu’il n’auroit dû l’être, ibid. Les batard tantôt y étoient citoyens, & tantôt ils ne l’étoient pas, III. 72. Il y avoit trop de fêtes, III. 154, 155. Raisons physiques de la maxime reçue chez eux, par laquelle on croyoit honorer davantage les Dieux, en leur offrant de petits présens, qu’en immolant des bœufs, III. 157. Dans quels cas les enfans y étoient obligés de nourrir leurs peres tombés dans l’indigence : justice & injustice de cette loi, III. 198, 199. Avant Solon, aucun citoyen n’y pouvoit faire de testament : comparaison des lois de cette république à cet égard, avec celles de Rome, III. 246. L’ostracisme y étoit une chose admirable, tandis qu’il fit mille maux à Syracuse, III. 413, 414. Il y avoit une loi qui vouloit qu’on fît mourir, quand la ville étoit assiégée, tous les gens inutiles. Cette loi abominable étoit la suite d’un abominable droit des gens, III. 426, 427. L’auteur a-t-il fait une faute, en disant que le plus petit nombre y fut exclus du cens fixé par Antipater ? D. 318 & suiv.

Athéniens. Pourquoi n’augmenterent jamais les tributs qu’ils leverent sur les Elots, II. 5. Pourquoi ils pouvoient s’affranchir de tout impôt, II. 16, 17. Leur humeur & leur caractere étoient à peu près semblable à celui des François, II. 192. Quel étoit originairement leur monnoie : ses inconvéniens, III. 3, 4.

Athualpa, ynca. Traitement cruel que lui firent les Espagnols, III. 235.