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Page:Montesquieu Esprit des Lois 1777 Garnier 4.djvu/510

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TABLE

évêques, pour les Wisigoths, III. 269, 270. La charité de ceux d’autrefois leur faisoit racheter des captifs, IV. 23. Ne cessent de louer la dévotion de Pépin, à cause des libéralités que sa politique lui fit faire aux églises, IV. 139.

Moïse. On auroit dû, pour arrêter la communication du mal vénérien, prendre pour modele les lois de Moïse sur la lepre, II. 51. Le caractere des Juifs l’a souvent forcé, dans ses lois, de se relâcher de la loi naturelle, II. 88. Avoit réglé qu’aucun Hébreu ne pourroit être esclave que six ans : cette loi étoit fort sage ; pourquoi, II. 91. Comment veut que ceux des Juifs qui avoient plusieurs femmes les traitassent, II. 105. Réflexion, qui est l’éponge de toutes les difficultés que l’on peut opposer à ces lois, II. 213. Sagesse de ses lois au sujet des asiles, III. 168. Pourquoi a permis le mariage entre le beau-frere & la belle-sœur, III. 222, 223.

Molosses. Se tromperent dans le choix des moyens qu’ils employerent pour tempérer le pouvoir monarchique, I. 339.

Monachisme. Quelles sont les lois qui en dérivent, I. 31 & suiv. Ce que c’est, & ce qui en constitue la nature, ibid. Quelle en est la maxime fondamentale, I. 32. Les justices seigneuriales & ecclésiastiques y sont nécessaires, ibid. Ce qui, outre les pouvoirs intermédiaires, est essentiel à sa constitution, I. 34, 35. Quel en est le principe, I. 39 ; 50, 51. Peut se soutenir sans beaucoup de probité, ibid. La vertu n’est point le principe de ce gouvernement, I. 46 & suiv. Comment elle subsiste, ibid. Les crimes publics y sont plus privés que dans une république, I. 47. Comment on y supplée à la vertu, I. 49. L’ambition y est fort utile :