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Page:Montesquieu Esprit des Lois 1777 Garnier 4.djvu/511

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DES MATIERES.

pourquoi, I. 50, 51. Illusions qui y est utile, & à laquelle on doit se prêter, I. 51. Pourquoi les mœurs n’y sont jamais si pures que dans une république, I. 61. Les mœurs y doivent avoir une certaine franchise, ibid. Dans quel sens on y fait cas de la vérité, I. 61, 62. La politesse y est essentielle, I. 62. L’honneur y dirige toutes les façons de penser, & toutes les actions, I. 63, 64. L’obéissance au souverain y est prescrite par les lois de toute espece : l’honneur y met des bornes, I. 64. L’éducation y doit être conforme aux regles de l’honneur, I. 65. Comment les lois y sont relatives au gouvernement, I. 110 & suiv. Les tributs y doivent être levés de façon que l’exaction ne soit point onéreuse au peuple, I. 112. Les affaires y doivent-elles être exécutés promptement ? I. 113, 114. Ses avantages sur l’état républicain, ibid. — sur le despotisme, I. 114. Son excellence, ibid. & suiv. La sureté du prince y est attachée, dans les secousses, à l’incorruptibilité des différens ordres de l’état, I. 115, 116. Comparée avec le despotisme, ibid. & suiv. Le prince y retient plus de pouvoir qu’il n’en communique à ses officiers, I. 132 & suiv. Y doit-on souffrir que les citoyens refusent les emplois publics ? I. 138. Les emplois militaires n’y doivent pas être réunis avec les civils, I. 140 & suiv. La vénalité des charges y est utile, I. 142, 143. Il n’y faut point de censeurs, I. 143 & suiv. Les lois y sont nécessairement multipliées, I. 146 & suiv. Causes de la multiplicité & de la variation des jugemens qui s’y rendent, ibid. Les formalités de justice y sont nécessaires, I. 151 & suiv. Comment s’y forment les jugemens, I. 155. Les ministres ne doivent point y être juges, I. 163. La clémence y est plus nécessaire qu’ailleurs, I. 191 & suiv. Il n’ faut point de lois somptuaires : dans quel cas elles y sont utiles, I. 200 & suiv. Finit par la pauvreté, I. 202. Pourquoi les femmes y ont peu de retenue, I. 209, 210. N’a pas la bonté des mœurs pour principe, I. 219. Les dots des femmes y doivent être considérables, I. 220. La communauté des biens entre mari & femme y est utile, ibid. Les gains nuptiaux