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Page:Montesquieu Esprit des Lois 1777 Garnier 4.djvu/525

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DES MATIÈRES.

mes, II. 107. Principe de la morale orientale, II. 108 & suiv. Les femmes n’y ont pas le gouvernement intérieur de la maison ; ce sont les eunuques, II. 115. Il n’y est point question d’enfans adultérins, III. 71.

Orientaux. Absurdité d’un de leurs supplices, I. 406. Raisons physiques de l’immutabilité de leur religion, de leurs mœurs, de leurs manieres, & de leurs lois, II. 40, 41. Tous, excepté les mahométans, croient que toutes les religions sont indifférentes en elles-mêmes, III. 189.

Orléans. Le combat judiciaire y étoit en usage dans toutes les demandes pour dettes, III. 319.

Orphelins. Comment un état bien policé pourvoit à leur subsistance, III. 119.

Orphitien. Voyez Sénatusconsulte.

Ostracisme. Prouve la douceur du gouvernement populaire qui l’employoit, III. 229. Pourquoi nous le regardons comme une peine, tandis qu’il couvroit d’une nouvelle gloire celui qui y étoit condamné, III. 229, 230. On cessa de l’employer, dès qu’on en eut abusé contre un homme sans mérite, III. 230. Fit mille maux à Syracuse, & fut une chose admirable à Athenes, III. 413, 414.

Ostrogoths. Les femmes chez eux succédoient à la couronne, & pouvoient régner par elles-mêmes, II. 372. Théodoric abolit chez eux l’usage du combat judiciaire, III. 313. L’auteur promet un ouvrage particulier sur leur monarchie, IV. 29.

Othons. Autorisoient le combat judiciaire, d’abord dans les affaires criminelles, ensuite dans les affaires civiles, III. 314.

Ouvriers. On doit chercher à en augmenter, & non pas à en diminuer le nombre, III. 82, 83. Laissent plus de biens à leurs enfans, que ceux qui ne vivent que du produit de leurs terres, III. 119.

Oxus. Pourquoi ce fleuve ne se jette plus dans la mer caspienne, II. 278, 279.