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Page:Montesquieu Esprit des Lois 1777 Garnier 4.djvu/534

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TABLE

monarchie, I. 62. Tient long-temps aux bonnes maximes qu’il a une fois embrassées, I. 83. Peut-il, dans une république, être juge des crimes de lese-majesté ? I. 157. Les lois doivent mettre un frein à la cupidité qui le guideroit dans les jugemens des crimes de lese-majesté, I. 158. Cause de sa corruption, I. 231. Ne doit pas, dans un état libre, avoir la puissance législative : à qui doit la confier, I. 317. é suiv. Son attachement pour les bons monarques, I. 420, 421. Jusqu’à quel point on doit le charger d’impôt, II. 8, 9. Veut qu’on lui fasse illusion dans la levée des impôts : comment on peut conserver cette illusion, II. 10 & suiv. Est plus heureux sous un gouvernement barbare, que sous un gouvernement corrompu, II. 22, 23. Son salut est la première loi, III. 236.

Peuple d’Athenes. Comment fut divisé par Solon, I. 21.

Peuple de Rome. Son pouvoir sous les cinq premiers rois, I. 343 & suiv. Comment il établit sa liberté, I. 349 & suiv. Sa trop grande puissance étoit cause de l’énormité de l’usure, III. 53 & suiv.

Peuple naissant. Il est incommode d’y vivre dans le célibat ; il ne l’est point d’y avoir des enfans : c’est le contraire dans un peuple formé, III. 76.

Peuple romain. Comment fut divisé par Servius Tullius, I. 20, 21. Comment étoit divisé du temps de la république, & comment s’assembloit, I. 350 & suiv.

Peuples. Ceux qui ne cultivent point les terres sont plutôt gouvernés par le droit des gens que par le droit civil, II. 151 ; 175 — Leur gouvernement, leurs mœurs, II. 152, 152. — Ne tirent point leur ornement de l’art, mais de la nature ; de là la longue chevelure des rois francs, II. 173. Leur pauvreté peut dériver de deux causes qui ont différens effets, I. 241, 242.

Phaleas de Calcédoine. En voulant établir l’égalité, il la rendit odieuse, I. 91.

Phéniciens. Nature & étendue de leur commerce, II. 282. Réussirent à faire le tour de l’Afrique, II. 309. Ptolomée regardoit ce voyage comme fabuleux, II. 313.