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Page:Nerciat - Le Diable au corps, 1803.djvu/352

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LE DIABLE AU CORPS.

LE SUISSE, gracieusement.

Fort pien. Moi, fous l’y connaître assez. S’il y être pien choli, tiable ! il y être aussi pien méchante… Afoir moi tit, coquin, pélître !

LA MARQUISE, à son amie.

Ce n’est pas trop bien, du moins ?

LA COMTESSE.

D’accord.

(Au Suisse.)


Sans rancune, ami Georges ? En repassant, je tacherai de faire ma paix.

LE SUISSE, souriant.

Le paix il est tout fait.

LA MARQUISE, au Suisse.

Laissez-nous. J’y suis maintenant pour tout le monde.

LA COMTESSE.

Non pas, s’il vous plaît.

(Au Suisse.)


Un moment.

(À la Marquise.)


Je viens m’emparer du poste ; et j’ai besoin de vous pour tout le reste du jour.