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Page:Nichault - Scenes du jeune age V1.pdf/133

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défendu qu’elle approchât de Phrosine, parce qu’il se joignait à sa rougeole quelques symptômes de coqueluche : et plusieurs autres raisons qui n’étaient probablement que de vains prétextes, mais contre lesquels la petite Henriette ne pouvait rien ; car, si sa mère était d’une grande faiblesse pour les caprices de son enfant, elle retrouvait toute sa force de volonté quand il s’agissait de la santé d’Henriette.

Pendant que cette scène se passait au premier, on souffrait, on pleurait aussi dans la loge. La pauvre Phrosine, enfermée dans