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Page:Nichault - Scenes du jeune age V1.pdf/134

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sa triste soupente, où le jour pénétrait à peine, écoutait à travers le bruit de sa respiration étouffée tous les mouvements qui se faisaient dans la loge, espérant toujours entendre la petite voix d’Henriette demander de ses nouvelles. Mais cette douce voix ne vint pas l’aider à souffrir ; seulement, de temps en temps un domestique, qui n’osait même pas entrer dans la loge, criait du milieu de la cour :

— Eh bien, la mère Glaudin, comment va votre petite ?

— Ah, mon Dieu ! répondait la mère en soupirant, le méde-