Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
fera un de moins ; il y a toujours trop de ces gueux-là.
Et la charrette se met en mouvement.
Mais le commandant, touché de l’état de douleur où il voit Jean-Louis, lui promet de traiter son cousin avec quelque ménagement, et de lui laisser parvenir les secours que sa famille peut lui donner.
Jean-Louis n’en entend pas davantage : il court à sa maison, prend dans son coffret le petit trésor qu’il avait amassé par son travail, cette somme de quarante francs qui devait lui assurer tant