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Page:Nichault - Scenes du jeune age V1.pdf/216

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En faisant cette promesse, Agénor était de bonne foi : car déjà le repentir de sa dernière faute le tourmentait cruellement.

Il passa une nuit fort agitée ; et le matin, dès les premiers rayons du jour, il avait l’oreille tendue pour écouter par la cheminée s’il n’entendait pas du bruit dans le cabinet de M. de Berville, qui était justement au-dessous de la chambre d’Agénor.

Tout à coup le son de plusieurs voix fait battre son cœur. On dirait que les unes accusent, que les autres se justifient. Ce sont