Aller au contenu

Page:Nichault - Scenes du jeune age V1.pdf/217

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

celles de M. et de madame de Berville, de François.

— Avouez-moi plutôt, dit M. de Berville à François, que vous avez cassé ce vase en faisant mon cabinet : je n’en serai pas moins désespéré de cette perte irréparable, mais je n’aurai pas l’idée que vous mentez, ce qui m’est plus pénible que tout le reste.

— Mais quand je jure à monsieur, sur tout ce qu’il y a de sacré, que la clé de son cabinet est restée dans ma poche, que je ne suis entré dans le cabinet que ce matin, et que je suis resté sai-