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Page:Nichault - Scenes du jeune age V1.pdf/235

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nor. Toutes ces craintes s’évanouirent lorsque madame de Berville, ayant parlé de la Saint-François, jour de la fête de son mari, elle dit à ses enfants de choisir le plaisir qui serait le plus de leur goût pour célébrer ce beau jour.

— Je me charge de répondre aux petites surprises qu’ils me ménagent dit M. de Berville, je ferai venir ici une lanterne magique, la plus belle que l’on pourra trouver. Elle nous donnera d’abord le spectacle, puis le bal, et votre mère se chargera des rafraîchissements.