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me pardonne ou que je meure.
— Ah mon Dieu ! le pauvre enfant a perdu l’esprit. Monsieur Agénor, monsieur Agénor ! mais regardez-moi donc.
— C’est toi ! dit Agénor en se jetant à genoux ; pardon, pardon, François ! C’est moi qui t’ai fait renvoyer ; c’est moi…
— Paix, dit François en relevant Agénor, votre oncle m’a tout conté : il vous écoutait l’autre soir lorsque vous parliez de moi à votre cousine ; c’est lui qui a imaginé de nous mettre tous dans la lanterne magique ; mais, consolez-vous. Vous avez fait une espièglerie qui a pensé