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Page:Nichault - Scenes du jeune age V2.pdf/127

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— Parlez-moi de ces sortes de complots, dit le sergent, et des émeutes qui s’ensuivent ; cela ne fait pas peur au gouvernement.

— Et cela venge des Mouchardinet, dit Langlois. Puis, se tournant vers le proviseur : Pardonnez-nous, ajouta-t-il, de vous avoir trompé ainsi ; mais il fallait bien nous donner un air coupable pour éprouver la manie du pestard, et lui faire la leçon. Celle-ci est bonne, n’est-ce pas ?

— J’espère qu’il en profitera, dit le proviseur en regardant Mouchardinet, et qu’il sentira ce qu’il y a d’infamie attachée au