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— S’il ne s’agit que de l’en prier, répondit M. d’Artimont, je ne demande pas mieux ; mais je crains qu’elle ne me refuse, car elle ne veut pas ordinairement vous faire veiller.
— Non, maman ne vous refusera pas ; elle vous aime beaucoup.
— Vrai ! charmante enfant ! dit M. d’Artimont en prenant Elvina sur ses genoux ; et votre sœur ?
— Léontine ?
— Oui, l’aimable Léontine.
— Ah ! je crois bien qu’elle vous aime, et plus que tout le