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monde, puisqu’elle se dispute toute la journée avec Jules à cause de vous.
— Ah ! vraiment ? dit M. d’Artimont.
— Je ne mens pas, reprit Elvina, ravie d’être écoutée, si attentivement, et de causer comme une grande personne ; hier encore ils se sont disputés après le déjeuner.
« Tu veux nous faire accroire que tu en es folle, disait Jules à sa sœur ; ah ! mon Dieu ! nous savons bien pourquoi tu l’aimes : tu aimes sa fortune, son nom, son titre, la calèche et les che-