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vaux anglais qu’il a fait venir de Londres, et tu as raison, car il n’a guère que cela pour lui. »
— C’en est trop ! s’écrie M. d’Artimont, en posant Elvina à terre, et je lui prouverai bien que, si je ne suis pas aimable, je ne suis pas plus endurant.
— Ah ! mon Dieu, qu’avez-vous donc ? reprit Elvina, effrayée de la colère qui se peignait dans les yeux de M. d’Artimont.
— Ah ! ce sont mes chevaux anglais, ma fortune, qu’on aime ! répétait-il en se promenant à grands pas dans la chambre.