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un verre d’eau à la cuisine…
— Va, mon enfant ; et dis à Catherine de te donner un peu de vin aussi. Cela te remettra, car tu as l’air toute saisie.
Albertine court aussitôt vers Catherine ; et, avec cette audace que donne une situation désespérée, elle lui dit :
— Vous avez pris mon sac, n’est-ce pas ?
— Moi ? répond Catherine d’un ton goguenard : je pense bien à votre sac, vraiment.
— Ah ! dites-moi que vous l’avez, ma bonne Catherine, reprend Albertine d’un ton sup-