Aller au contenu

Page:Nicolle - Naissance, vie et mort des maladies infectieuses, 1930.djvu/28

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

aussi de particulières ; car un végétal ne réagit pas contre l’infiniment petit qui l’attaque de la même façon que le fait l’animal devant le microbe ou l’inframicrobe. Le sujet que nous avons choisi est trop étendu pour qu’il nous soit possible d’accorder plus ici que de rares allusions à la pathologie infectieuse des plantes.