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Page:Nuitter et Tréfeu - La Princesse de Trébizonde, 1870.djvu/82

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––––––––––Rien n’est égal
––––––––À ce mal infernal !
LE PRINCE, à part.

Tout ça n’est pas clair ! Il y a quelque chose là-dessous. J’aurais l’œil ouvert. (À Raphaël.) Eh bien ! mon enfant, tu souffres donc beaucoup ? Va te coucher !

RAPHAEL.

Oui, papa ! Je vais me coucher.

LE PRINCE.

Je partirai seul (À part.) Mais je reviendrai.

RAPHAEL, bas à Zanetta.

À ce soir.

SPARADRAP.

Ici, tantôt je vous attendrai.

PAOLA.

Moins d’effervescence, petit imprudent !

CABRIOLO.

L’un part, l’autre se couche ! je pourrai ce soir me payer une séance de mes figures de cire.

TRÉMOLINI.

Eh bien, papa beau-père, à quand la noce ?

CABRIOLO.

Zut !

TRÉMOLINI.

Oh !

Tout le monde sort, Trémolini resté le dernier, fait signe à Régina de rester.


Scène VII

TRÉMOLINI, RÉGINA.
TRÉMOLINI.

Régina !

RÉGINA.

Quoi ?

TRÉMOLINI.

Ton père…

RÉGINA.

Eh bien ?…