Aller au contenu

Page:Pérochon - Les Creux de maisons.djvu/53

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

qu’aux Marandières. Il était libre, seul ; il avait peu d’amis ; il ne voulait plus revoir Marichette, et quant à l’autre, il n’avait pas le droit d’y penser. Rien ne l’empêchait de se gager au loin.

Il tomba vite d’accord avec son camarade pour le prix. Deux mois plus tard, il commençait à s’habituer chez ses nouveaux patrons.

Trois ans passèrent.