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Page:Pérochon - Les Gardiennes (1924).djvu/255

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LES GARDIENNES

encore quelques pas et se retourna : le visage de Francine lui apparut alors, un visage soucieux et plus maigre et plus terne qu’à l’habitude.

Une inquiétude nouvelle l’assaillit si soudainement qu’elle broncha.