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Page:Paul Vibert - Mon berceau, 1893.djvu/219

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les anglais au palais-royal

gascar, à Terre-Neuve, au pays des Egbas, en Afrique, en Asie, en Océanie, n’importe où et vous retrouverez l’Anglais ; autrefois il mettait à sac notre pauvre Palais-Royal, qui n’en pouvait mais, aujourd’hui il nous vole nos colonies ; petit voleur deviendra grand, c’est fait et l’ennemi héréditaire, allez, c’est toujours la cour d’Angleterre.

— Je n’ai pas dit : le peuple irlandais qui meurt de faim, ni même le peuple anglais qui souffre et gémit, en attendant sa grande révolution émancipatrice.

P. S. — Une erreur typographique a fait sauter, dans un précédent chapitre, le nom de l’île Louvier qui, d’ailleurs, se trouvait à l’opposé du premier arrondissement, à l’extrémité de l’île Saint-Louis, et a été réunie à la terre ferme, dans le quartier de l’Arsenal, au commencement du second empire.