remerciements et le contentement que nous en aurons tous les cinq.
» J’ai l’honneur d’être, etc., etc. »
Les lettres les plus gracieuses s’échangent entre Hélène et son beau-père. Dans l’une d’elles, la comtesse demande des détails sur Sidonie et insiste pour que le prince vienne les rejoindre l’hiver à Paris. Il lui répond d’une façon charmante, ne manquant pas une petite allusion malicieuse au caractère de sa femme qui a été pour Sidonie une bonne école.
» Votre lettre, chère belle-fille (car il me paraît que c’est comme la prêtrise un titre ineffaçable), nous a tous pénétrés de tendresse et de reconnaissance. Sidonie en est aux anges et Christine y a vu tant de délicatesse et de bonté par vos recherches de ses amies, et de tout ce qui peut la toucher, ainsi que de votre passage à Tœplitz qui nous a fait pleurer tous les deux, que je ne puis assez vous exprimer tous ces différents sentiments.
» Attendez-vous à trouver dans Sidonie votre