d’avoir l’honneur de vous voir, et, moi, je serais fort aise que vous commençassiez à traiter sérieusement avec lui.
» Les occasions de vous prouver mon zèle et mon entier dévouement ne manqueront pas, avec cette tête vacillante ; vous ferez passer par moi tout ce que vous voudrez ; je veillerai à tout, et vous rendrai fidèle compte. Mais il me semble que c’est entre nous que vous devez dire les choses qui fixeront le point d’où on partira. Il m’a reparlé plusieurs fois de cet état de biens, surtout du bien présent ; en lui en présentant un, cela accélérera la négociation, ce qui sera sagement fait.
» Les émissaires du prince de Salm agissent vivement ; il m’en parle sans cesse, et il écoutr toujours mes réponses comme si elles étaient toutes nouvelles ; il continue à me confier les propositions qu’on lui fait, nous avons trois concurrents nouveaux, qui ne me font pas peur pour ie présent. »
Les éclaircissements désirés arrivèrent enfin de Bruxelles, dans la lettre que voici :