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Page:Perey - Histoire d'une grande dame au XVIIIe siècle, La princesse Hélène de Ligne, 1888.djvu/433

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LA PRINCESSE CH. DE LIGNE.

» Adieu, mon cher oncle ; recevez l’hommage du profond respect et des tendres sentiments que je vous ai voués pour la vie.


» HÉLÈNE LIGNE. »


Le comte, après une convalescence aussi longue que la maladie, partit pour la Galicie. Il avait été touché du désespoir et du dévouement d’Hélène ; il lui promit, avant de la quitter, de tenter de nouveau tous les efforts possibles pour obtenir ce divorce si ardemment désiré, et la laissa, sinon tranquille, au moins plus rassurée.