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Page:Perey - Histoire d'une grande dame au XVIIIe siècle, La princesse Hélène de Ligne, 1888.djvu/475

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APPENDICE.

LA SACRISTIE.


Elle est partagée par une grille, dont l’autre côté donne dans le dehors. Il y a de grandes armoires où sont les chapes, chasubles, étoles, aubes et devants d’autel.

Dans la chambre à côté est le trésor, où il y a beaucoup de châsses, reliques, croix, etc., en or, argent et pierres précieuses. À côté est une chambre à cheminée où les sacristines travaillent.


LE CHAPÎTRE.


Il est boisé ; un trône abbatial et des stalles pour les religieuses ; au bout est une porte qui donne dans la chambre des confessionnaux, qui sont au nombre de quatre.


LE RÉFECTOIRE.


Un rang de colonnes au milieu, les tables à droite et à gauche ; à droite, une chaire pour faire la lecture.


LES DORTOIRS DES RELIGIEUSES.


Quatre côtés à perte de vue, il y a plus de quatre-vingts cellules ; au milieu est un dôme, d’où pend une lampe.


DESCRIPTION D’UNE CELLULE.


Un lit, blanc l’été, bleu l’hiver ; un prie-Dieu, une commode, des chaises tapissées de nattes ; un parquet bien ciré, des patins pour marcher, une table, une tablette pour mettre des livres. On peut décorer les cellules, d’images, de reliquaires, etc.