Le crâne ployé à la région palatine, de façon que les dents de chaque côté se rencontrent et se touchent sur la ligne médiane ; les oreilles contiguës et soudées sur le centre ; un seul trou auriculaire et une seule caisse ; le sphénoïde postérieur ayant ses deux ptérigoïdaux (apophyses ptérigoïdes externes) soudés dans les neuf dixièmes de leur longueur.
J’établis ce genre d’après le crâne d’un mouton ; je ne l’ai point encore rencontré dans l’espèce humaine.
Le grand intérêt de cette monstruosité est dans son sphénoïde postérieur, présentant dans l’état pathologique les conditions normales des oiseaux. Cette conformation intermédiaire appuiera d’une preuve vraiment irrécusable mes nouvelles déterminations du crâne des oiseaux.
Un treizième genre, dont je n’ai pu entièrement démêler les complications, parce que plusieurs des os du crâne étaient brisés, et dont je suis redevable à l’officieuse communication de M. le docteur Pa-