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Page:Philosophie anatomique. Monstruosités humaines (IA BIUSante 32837x02).pdf/391

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matrice forment un organe distinct de ce qu’on a nommé le corps de l’utérus, ce n’est pas toute la matrice qu’on devra regarder comme répondant aux vésicules séminales, mais uniquement le corps de l’utérus. C’est en y apportant cette restriction que j’admets la détermination généralement adoptée (utérus et vésicules séminales).

Des parties présumées les analogues, chez les mâles, des cornes de la matrice et de l’épididyme chez les femelles.

Si notre principe des connexions n’est plus simplement une de ces idées à priori que l’esprit conçoit sur un certain nombre de données, mais constitue présentement une loi déduite de tous les cas où il en a été fait une juste et sévère application, c’est à ce principe à nous éclairer sur les déterminations qu’il nous reste à donner ou à vérifier. J’admets comme fondée celle du précédent article, l’identité des vésicules séminales avec le corps de l’utérus ; et je n’ai plus, pour me laisser prévenir par les inspirations si utiles conseillères de nos deux principes, la théorie des analogues et celle des connexions, qu’à poser la question suivante : Combien existe-t-il de parties avec un caractère distinct chez le mâle, entre les vésicules séminales et le testicule ; combien chez la femelle, entre le