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Page:Philosophie anatomique. Monstruosités humaines (IA BIUSante 32837x02).pdf/80

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j’en ai prévenu plus haut : la loi des connexions portait sur ces pièces sans la moindre hésitation ; car, toutes rejetées qu’elles sont du côté des épaules, elles n’en restent pas moins entourées des os qui les bordent ordinairement. Leur détermination dans le vrai est si exactement assurée, qu’avant qu’on pût leur appliquer avec une entière confiance le principe fécond des connexions, ces pièces avaient été reconnues pour des occipitaux supérieurs dès 1784 par Sandifort, et de nos jours par M. Lallemand. Ce n’est pas cette expression nette et caractéristique qu’on trouve dans leurs écrits ; mais je m’en sers pour rendre plus exactement leur pensée.

Cependant tout en adoptant les déterminations de ces savans anatomistes, il m’a semblé que ce sujet de leurs considérations était encore susceptible de quelques éclaircissemens, et je crois pouvoir ajouter d’une sorte de correction. Ce point nouveau à traiter m’a engagé dans la discussion suivante.

Pour comprendre les faits d’une organisation

    a donnée M. le professeur Rodati, nos occipitaux supérieurs, numérotés 13, 13, fig. 4, sont considérés comme répondant à la portion écailleuse des temporaux, Ossa tempora quoad portiones squamosas exterius revolulas (13, 13).

    On retrouve ces mêmes os dans le trait de profil, fig. 3, mais portant une autre indication, le chiffre 19. La planche donne seule cette circonstance ; le texte n’en fait aucune mention.