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Page:Pierre Daru - l'astronomie - poème en six chants.djvu/18

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agrandi l’idée de l’Être suprême ; elle a étendu notre esprit qui, trop resserré sur ce globe, aime à s’égarer de sphère en sphère, et à mesurer du moins par l’imagination cet espace immense dans lequel l’homme n’occupe qu’un point imperceptible… Les observateurs recueillent ; les faits s’accumulent, comme les matériaux d’un édifice, et attendent l’homme de génie qui doit être l’architecte du monde.


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