lorsqu’on prend
,
;
étant une quantité positive ou négative, mais très petite par rapport à ; et sous cette forme, elle subsiste également quand les chances de E et F varient d’une épreuve à une autre, en prenant alors, d’après la formule (2) du no 95, pour et les moyennes de leurs valeurs dans la série entière des épreuves successives.
2o. Les événements E et F ayant eu lieu effectivement et fois dans les épreuves, et leurs chances et étant inconnues, soit la probabilité qu’ils arriveront dans ou épreuves futures, des nombre de fois et , proportionnels à et , ou tels que l’on ait
,
.
Quelque soit le nombre , on aura (no 71)
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,
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(b)
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en représentant par la probabilité de l’événement futur qui aurait lieu si les rapports et étaient certainement les chances de E et F, c’est-à-dire en faisant, pour abréger,
3o. Les chances constantes et de E et F étant données, soit la probabilité que dans ou épreuves, E arrivera au moins fois et F au plus fois. On aura (no 77)
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(c)
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