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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome I.djvu/120

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la cuisse ; néanmoins, il continuait à commander l’attaque.

Protégés par les volets, les assiégés ne tiraient qu’à coup sûr.

À chaque balle qui sifflait, un homme tombait.

Le gendarme était reparti pour Courson demander du renfort et du canon.

Le combat dura une heure.

Au bout de cette heure, les murs du manoir, la porte de chêne ferrée, les volets des fenêtres, tout était criblé de bal-