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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome I.djvu/119

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mais jugeaient inutile d’exposer leurs jours précieux, — Curtius et Scœvola, disons-nous, se retirèrent à distance respectueuse, et hors de la portée des balles.

Les soldats s’étaient élances vers le château et tentaient d’escalader les murs et d’atteindre les fenêtres.

Le feu des assiégés était nourri et ne discontinuait pas.

Les soldats tombaient, et l’officier qui les commandait avait déjà reçu deux balles, l’une à l’épaule, l’autre dans les chairs de