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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome I.djvu/138

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nuit, comme je m’étais mis à genoux et priais Dieu pour me préparer à la mort, le front appuyé contre la muraille, je sentis tout à coup quelque chose de chaud sur mon visage. C’était comme l’haleine d’un homme ou d’un animal.

Je reculai effrayé, et il me sembla voir luire comme un chardon ardent entre les pierres.

C’était un œil jaune et brillant, l’œil d’une loutre.