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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome I.djvu/139

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Je pris mon couteau, l’introduisis entre deux pierres et donnai une secousse.

La pierre céda… Tenez, comme elle cède à présent.

Et le braconnier tira la pierre à lui, et le marquis, étonné, vit un trou béant, assez semblable au terrier d’un renard.

Le braconnier poursuivit :

— La loutre prit la fuite devant moi et s’enfonça dans le trou.

Alors je me fis ce raisonnement, que,