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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome I.djvu/165

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— Je sais que cette nuit-là vous l’avez échappé belle.

— Soit !

— Eh bien, dites-vous, depuis cette nuit-là…

— Je ne dors plus.

— Vous ne mangez plus et ne dormez plus… tout cela va ensemble.

— Hélas !

— Et vous aimez Marion ?

— Comme un fou.

— C’est grave…