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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome I.djvu/166

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Et mademoiselle Lange baissa les yeux et devint pensive.

— Oh ! tenez, reprit Barras avec feu, je ne sais, en vérité, de quel sacrifice je serais capable pour lui plaire.

— Vraiment ?

— Je lui donnerais un palais…

— Bien. Après ?

— Des chevaux, des valets, des diamants…

— Et puis ?